Électrifier notre système énergétique
MYTHES ET FAITS
Les maisons éconergétiques sont bénéfiques pour notre confort et notre porte-monnaie. Rejoignez la famille Thompson qui navigue la dure réalité d’essayer de demeurer au chaud dans leur ancienne maison.
Abandonnez les économies de bout de chandelle, et découvrez comment, grâce aux mises à niveau transformatrices, les programmes éconergétiques du Nouveau-Brunswick sont la clé du confort et des économies. Passez en revue notre liste de programmes sur l’abordabilité énergétique.
Les définitions traditionnelles de la pauvreté énergétique ciblent uniquement les facteurs économiques. Cependant, la pauvreté énergétique est aussi définie par des facteurs sociaux comme le revenu, le logement et le lieu de résidence. En élargissant la définition de la pauvreté énergétique pour tenir compte de ces facteurs sociaux, nous pouvons mieux saisir ce problème et y remédier plus efficacement.
Les thermopompes vous permettent d’économiser de l’argent, de favoriser l’action climatique au NouveauBrunswick et de vous, à vous et à votre famille, une option plus sécuritaire pour demeurer au chaud en hiver et au frais en été.
Les frais énergétiquesdes ménages chutent entre 2 et 6 % suite à l’abandon d’une chaudière au gaz naturel et l’adoption d’une thermopompe. Les thermopompes sont aussi pratiques, ce qui nécessite très peu d’entretien tout au long de l’année.
De plus, elles ne dépendent pas de la combustion de combustibles fossiles pour chauffer la maison, vous assurer une meilleure protection, ainsi qu’aux personnes qui vous sont chères, notamment en évitant l’empoisonnement au monoxyde de carbone.
Comme l’hydrogène peut servir de substance chimique ou de source d’énergie, il est crucial de comprendre les possibilités et les défis de ces deux avenues pour stimuler l’adoption de l’énergie propre.
En dépit de son utilité chimique, l’hydrogène pose, par contre, bien des problèmes sur le plan énergétique. La production, l’entreposage et le transport de l’hydrogène nécessitent un apport énergétique considérable, souvent tiré de combustibles fossiles, ce qui limite le potentiel de l’hydrogène de servir d’option énergétique propre et durable. En fait, la production mondiale d’hydrogène chimique crée plus d’émissions de gaz à effet de serre que toute l’industrie aéronautique.
L’entreposage de l’electricite, qui consiste a capter et a entreposer l’energie electrique pour un usage ulterieur, est essentielle a la transition vers un systeme energetique propre, fiable et resilient. Comme les sources d’energies renouvelables deviennent de plus en plus concurrentielles sur le plan des couts et plus couramment adoptees, l’entreposage de l’electricite jouera un role important dans leur integration et permettra d’en tirer le maximum de profit.
Les ménages consacrent généralement environ 3 % de leur revenu après impôt à leurs frais énergétiques, notamment le chauffage, la climatisation, l’éclairage et les appareils de leur maison et leur transport. Or, nombre de ménages dépensent plus, ce qui peut susciter de la crainte. Une ménage qui consacre 6 % ou plus de son revenu après impôt à ses frais énergétiques, par exemple, risque de devoir faire des choix difficiles concernant les dépenses de son ménage.
Les chercheurs qualifient cette situation de pauvreté énergétique.
À l’heure actuelle, plus de 2 500 études scientifiques, enquêtes journalistiques et rapports réglementaires gouvernementaux portent sur chaque aspect de l’extraction du gaz de schiste. Les auteurs de la vaste majorité de ces documents étayent les dangers que cette industrie représente pour la santé publique, l’eau, l’environnement et le climat. En même temps, la promesse de création de richesses et d’emplois est tombée à l’eau.
Les ménages consacrent généralement environ 3 % de leur revenu après impôt à leurs frais énergétiques, notamment le chauffage, la climatisation, l’éclairage et les appareils de leur maison et leur transport. Or, nombre de ménages dépensent plus, ce qui peut susciter de la crainte. Une ménage qui consacre 6 % ou plus de son revenu après impôt à ses frais énergétiques, par exemple, risque de devoir faire des choix difficiles concernant les dépenses de son ménage.
Les chercheurs qualifient cette situation de pauvreté énergétique.
L’économie circulaire : essentielle pour remédier au changement climatique. Une économie circulaire permet de mieux utiliser les ressources de sorte à créer moins de déchets, moins de pollution et plus de produits durables. Il s’agit d’une voie différente de celle de l’économie linéaire traditionnelle qui suit une approche « prend-fait-jette », et dans laquelle les ressources sont extraites, transformées en produits, utilisées, puis jetées. En effet, dans une économie circulaire, on tente de conserver les ressources et les produits utilisés en créant un système en circuit fermé dans lequel on récupère, réutilise et recycle les matériaux.
Selon la Feuille de route des petits réacteurs nucléaires de Ressources naturelles Canada, si le Nouveau-Brunswick va de l’avant avec les PRM, il se pourrait que nous devions attendre jusqu’en 2030, au moins, avant de pouvoir tirer de l’électricité utilisable de ces projets expérimentaux. Pour lutter contre le changement climatique et atteindre l’objectif planétaire de faire passer le réchauffement au-dessous de la barre des 1,5°C, le Nouveau-Brunswick doit agir rapidement pour éliminer le charbon de la production d’électricité d’ici à 2030, au plus tard.
La centrale génératrice de Belledune représente 13 % du total des émissions du Nouveau?Brunswick. Promouvoir la biomasse comme solution pour la production d’électricité à grande échelle pourrait entraîner une hausse de la demande et, en retour, une intensification des pratiques forestières non durables. En passant à des sources d’énergie non polluantes comme l’énergie solaire et l’énergie éolienne au lieu de solutions uniques comme le brûlage de la biomasse, nous pouvons appuyer des pratiques forestières durables et, en même temps, utiles pour stabiliser notre climat.
On nous dit qu’en expédiant du méthane liquéfié en Europe, nous pourrons remédier aux problèmes de sécurité énergétique liés à l’invasion russe en Ukraine. On nous dit que nous pourrions convertir l’usine d’importation de Saint John en usine d’exportation en trois ans.
On nous dit qu’un développement économique est possible si nous levons le moratoire sur le gaz de schiste de la province pour accélérer le processus et rendre la conversion plus rentable par rapport aux autres options d’approvisionnement en méthane et aux oléoducs. Le premier ministre affirme aussi que le Nouveau-Brunswick peut favoriser la transition énergétique en convertissant le terminal d’exportation de GNL en usine d’hydrogène et qu’« une telle conversion serait facile ».
Est-ce que ces arguments sont réalistes?
Les technologies comme les turbines éoliennes, les panneaux solaires et les batteries des véhicules électriques nécessitent beaucoup de minéraux. Cependant, leurs effets connexes sur le climat sont moindres par rapport à ceux des combustibles fossiles. Une économie verte au Nouveau Brunswick et au Canada ne doit pas se faire aux dépens des droits des communautés autochtones et des terres de ces communautés partout sur la planète. Vous trouverez dans la présente fiche d’information les réponses à vos questions sur l’industrie minière et la transition vers les énergies vertes.
Le secteur des transports, qui regroupe nos véhicules, voitures, camions industriels, etc., intervient pour 29 pour cent du total des émissions du Nouveau-Brunswick, mais nos voitures personnelles interviennent pour 70 pour cent de ce total. Cela signifie que, chaque année, au Nouveau-Brunswick seulement, nos voitures produisent deux millions de tonnes de gaz à effet de serre (GES). En passant aux véhicules électriques, camions et transport en commun compris, nous pouvons réduire la quantité de polluants dans notre air et stabiliser notre climat.
Les autobus scolaires du Nouveau-Brunswick représentent près de 30 % du parc de véhicules gouvernementaux de la province. C’est donc, d’une année à l’autre, la source d’une partie importante des émissions des véhicules gouvernementaux de la province et de la pollution atmosphérique évitable qui en résulte. En passant à des autobus scolaires électriques, nous pouvons réduire la quantité de pollution atmosphérique à laquelle nos enfants sont exposés et stabiliser notre climat.
Consultez notre fiche informative sur la transition vers les autobus électriques du N.-B.
Consultez notre étude de cas sur les autobus scolaires électriques de l’Î.?P.?É.
Voir la liste complète des ressources sur les autobus scolaires électriques du N.-B.